Après l’augmentation des allergies, du diabète et des cancers au cours des 25 dernières années, une nouvelle inquiétude émerge. Et si les activités industrielles compromettaient les capacités des êtres humains à se reproduire? Une méta-analyse dirigée par l’Institut de veille sanitaire (InVS) fait le bilan des études existantes et l’état des lieux en France sur les agents environnementaux qui influent sur notre fertilité.
Une étude française, publiée dans la revue médicale britanniqueHuman Reproduction, vient de prouver qu’une exposition prolongée aux phtalates, des plastifiants présents dans de nombreux objets, entraînent une baisse de la production de sperme.
Afin d’augmenter ses chances d’avoir un enfant il est important de savoir quel est le meilleur moment pour essayer.
Cet omega-3 vient d’être démontré comme indispensable à la formation correcte des spermatozoïdes, donc à la fertilité masculine.
C’est en effet ce qu’une étude publié dans la revue « Fertility et Sterelity » de Novembre 2011, affirme.
On néglige souvent le rôle de notre alimentation sur notre état de santé général, et le fait que certaines carences peuvent avoir des impacts réels. Cette état de fait concerne aussi la fertilité masculine et son potentiel d’efficacité.
Les Français sont aujourd’hui en haut de la pyramide des naissance par rapport à ses voisins Européens. Avec un taux de plus de 2,01 enfants par Femme pour l’année 2010. La fertilité masculine est donc plutôt bonne de ce point là.
Même si cette formule peut prêter à sourire, il n’en demeure pas moins que les propriétés des noix soit un atout pour la fertilité.
Booster sa fertilité, passe par plusieurs étapes qui concerne principalement l’hygiène de vie au quotidien.
Il est aujourd’hui mis en évidence que les aliments riches en oméga 3 comme le saumon, les noix et autres yaourts, favorisent grandement la fertilité masculine, en aidant à une bonne maturation des spermatozoïdes. A l’inverse, certaines situations vont dans le sens totalement inverse. Il s’agit en particulier de l’obésité.
Attention, une étude très sérieuse publiée par la Havard Public School à Boston, montre de manière évidente que les accrocs à la télévision sont moins fertiles que les autres. A l’inverse les sportifs réguliers auraient un sperme de meilleurs qualité.
